Dégager des marges de manœuvre financières en optimisant l’éclairage public Abonnés
Un potentiel de réduction des consommations qui n’est pas négligeable
En France, l’énergie consommée par l’éclairage public représente :
- 41 % des consommations d’électricité des collectivités territoriales ;
- 16 % de leurs consommations toutes énergies confondues ;
- 37 % de leur facture d’électricité.
Or, même si la consommation moyenne pour une commune a diminué de 6 % par rapport à 2005, la dépense associée est restée stable du fait d’une forte augmentation du coût de l’électricité.
Des équipements vieillissants :
- plus de la moitié du parc est obsolète et s’avère très énergivore (boules diffusantes, lampes à vapeur de mercure) ;
- près de 40 % des luminaires en service ont plus de vingt ans.
Un retour sur investissement rapide
Pour une collectivité locale, l’investissement initial nécessaire à la rénovation de son parc d’éclairage public peut sembler important, mais il faut désormais raisonner en coût global et tenir compte :
- de la performance des lampes, des luminaires et des systèmes qui les gèrent, ainsi que leur dégradation dans le temps ;
- des coûts d’exploitation, de maintenance et de recyclage pour garantir un service de qualité.
Paul Durand le 13 mars 2025 - n°552 de La Lettre des Finances Locales
- Conserver mes publications au format pdf help_outline
- Recevoir par mail deux articles avant le bouclage de la publication.help_outline
- Créer mes archives et gérer mon fonds documentairehelp_outline
- Bénéficier du service de renseignements juridiqueshelp_outline
- Bénéficier du service InegralTexthelp_outline
- Gérer mon compte abonnéhelp_outline